Note pour plus tard : quand un robinet fuit, et que son démontage met à jour un joint complètement cuit, changer le robinet et laisser le vieux joint est aussi absurde que contre-productif...

On commence très très fort. Pas de geekeries cette fois ci. Mais le chat qui a mangé les devoirs, c'est une excuse largement dépassée...

Collègue 1 : Allô ? Je ne serais pas là aujourd'hui.
Collègue 2 : Ah bon ? Tu es malade ?
Collègue 1 : Non, mais la serrure de ma porte ne fonctionnait plus, alors j'ai du casser le mur pour rentrer chez moi...

Hop, une nouvelle catégorie sur ce blog moribond, histoire de laisser penser à un regain d'activité.
Titre : Les blagues des collègues
Sujet : les collègues, ou ce qu'ils ont laissés. L'héritage de certains est parfois très lourd. Et je tombe sur de telles perles que j'ai envie de les partager ! Alors ça risque d'être assez souvent plutôt geek, mais bon, comme je dois être le quasi seul lecteur de ce blog, c'est pas grave, je devrais me comprendre !

La sonde lunaire japonaise Sélène a tourné pendant presque 21 mois autour de la lune pour récupérer diverses informations (Page du projet sur le site de l'agence spatiale japonaise).
Sa dernière mission a été de s'écraser sur la lune. Tout au long de la descente, la sonde a pris des clichés du sol, avec une plutôt bonne résolution. Ces clichés ont permis de monter une petite vidéo du survol du sol lunaire.
On ne voit pas l'impact en lui-même car il eu lieu dans une zone sombre.
Je trouve cette vidéo impresionnante. Un regret quand même : il manque une échelle. On ne sait pas de quelle taille sont les cratère survolés !

Contexte

• Un appartement au 5° étage sans ascenseur ;
• Un Tharkun dont les problèmes de mémoire n'ont d'égal que les manques d'attention...

Scénario

• Partir tôt le matin pour profiter de l'air frais ;
• Descendre trois étages ;
• Se rendre compte que l'on a oublié un document important ;
• Remonter trois étages ;
• Récupérer le document ;
• Descendre cinq étages ;
• Faire quelques pas ;
• Se demander si l'on a bien débrancher le fer à repasser ;
• Douter ;
• Être incapable de se rappeler de l'avoir débrancher ;
• Revenir sur ses pas ;
• Remonter cinq étages ;
• Vérifier que le fer à repasser, évidemment, est bien débranché ;
• Pester ;
• Redescendre cinq étages ;
• Constater que l'on a déjà trop chaud ;
• Réaliser que le prochain moment de répit thermique n'arrivera que le lendemain matin ;
• Soupirer.

Et en bonus :

• Escalator en panne à la première station de métro ;
• Arriver dans un bureau dépassant déjà les 28°C ;
• Avoir le choix entre laisser les fenêtres fermées, et cuire, ou ouvrir les fenêtres, et profiter des marteaux piqueurs...